Le fragment, peint avec une remarquable adresse, présente deux personnages sculptés en très bas relief. Il s’agit certainement de pêcheurs qui se déplacent vers la gauche en transportant deux de leurs proies.
Le groupe comprend deux figures: avec une grâce naturelle, une jeune femme monte en amazone un taureau qui galope rapidement vers la droite du spectateur.
La statuette est en bronze massif. Elle représente une figure masculine debout, habillée d’un manteau court (que les Grecs appelaient la chlamyde) agrafé sur l’épaule droite au moyen d’une fibule circulaire.
La plaque est rectangulaire et parfaitement taillée et lisse ; elle est ornée en son centre d’un oiseau sculpté en relief dans le creux.
Bien qu’elle dégage un charme certain, typique de l’art populaire plutôt que des représentations officielles, cette statuette présente des formes très stylisées et naïves qui n’arrivent toutefois pas à faire oublier la force du bloc rectangulaire de la pierre.
La figurine est mince et légèrement bombée. Le contour en forme d’écusson, caractéristique de ce type d’images souvent appelées schématiques, reproduit probablement la silhouette d’un corps humain assis, sans aucun volume ni épaisseur.
Comme presque toutes les figurines en terre cuite d’origine syrienne de cette période, cette statuette a été modelée à la main de manière très stylisée et presque instinctive ; elle est assise sur un tabouret simplifié.
Cet ouchebty représente une figure masculine qui porte une courte barbe postiche et qui est coiffée d’une perruque arrondie, peinte uniquement sur la partie antérieure de la statuette.
La statuette représente un homme debout sur une petite base carrée. Il porte un masque, qui le caractérise comme acteur, et est drapé dans un grand manteau , qui moule tout son corps à l’exception de sa main gauche.
Le visage reproduit des traits exagérés et très typés, comme ceux qui caractérisent les images gréco-romaines dites « grotesques » : gros nez aquilin et pointu, sourcils froncés et très en relief et front ridé.
Ce visage reproduit certainement un personnage masculin ; il présente certaines des caractéristiques habituelles des images gréco-romaines dites « grotesques », comme le gros nez aquilin et pointu, les sourcils froncés et en relief et le front ridé.
La vieille femme, entièrement drapée dans un grand manteau qu’elle porte au-dessus du chiton, est assise sur un tabouret; son visage est recouvert d’un masque grotesque au regard mélancolique dirigé vers le bébé qu’elle tient dans ses bras nus.
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