Cette Applique Romaine en forme de Buste d’Héraclès est en bronze fondu mais légèrement creuse dans sa partie inférieure. D’après son contour semi-circulaire, il est raisonnable de penser qu’il s’agit d’une partie de la décoration d’un lit (fulcrum).
Masque-Applique représentant une tête masculine qui a été moulé dans de l’argile. L’arrière est plat et implique une appellation de « masque », plutôt que de tête modelée qui supposerait une totale tridimensionnalité.
Cette minuscule boîte (ou pyxide selon le terme dérivé du grec ancien) est pourvue d’un couvercle qui s’adapte parfaitement au corps grâce à un rebord en relief taillé avec précision sur la lèvre
Le vase, modelé en forme de cheval, a été fait dans un moule bivalve : le joint entre les deux moitiés est caché par la ligne centrale en relief qui court le long de toute la figurine.
Cette Hache Polie en Diorite (?) a été taillée dans un éclat de pierre long et mince, de couleur presque noire. Sa forme rappelle celle d’une goutte, avec une extrémité plus mince, tandis que l’autre présente un profil bien arqué, mais qui semble ne jamais avoir été aiguisé.
Le pendentif est un petit chef-d’œuvre de la bijouterie islamique : elle réunit plusieurs matériaux et plusieurs techniques de fabrication répandues chez les orfèvres proche-orientaux de l’époque
Balsamaire est le terme qu’utilisent souvent les archéologues pour nommer cette classe de récipients, très répandus dans tout l’Empire romain.
La bague est en bronze massif avec une bélière presque circulaire et un cabochon elliptique. Elle est ornée d’une figure incisée que l’on reconnaît aisément grâce à ses attributs : il s’agit du dieu Hermès, appelé Mercure (Mercurius) par les Romains.
Ce Sceau en forme de Tête de Lion, modelé en forme de protomé léonine stylisée, est taillé dans une pierre calcaire de couleur crème veinée de rouge.
La statuette en examen, taillée dans un petit monolithe de pierre calcaire, est certainement l’une des premières images tridimensionnelles d’éléphant que l’art proche-oriental nous a laissé : de plus, ce grand mammifère apparaît très rarement dans la riche iconographie animalière de cette importante culture.
Modelée dans une petite planche d’argile, cette figurine appartient au grand groupe appelé les « pappadès » à cause du polos (le couvre-chef haut et imposant), qui fait ressembler ces poupées aux popes orthodoxes.
Ce petit objet, très esthétique, comprend deux éléments : un parallélépipède servant comme base pour deux statuettes de jeunes taureaux, aux corps fusionnés et représentés tête-bêche.
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