Coupe de forme simple, sans anses, avec corps à profil légèrement évasé et à base circulaire et tronconique. La paroi de la coupe est remarquable par sa minceur.
Exemplaire de petite taille mais plein de charme, d’une forme, l’askos, parmi les plus significatives de la céramique daunienne du début de l’époque hellénistique. Ici, le grand goulot habituel, est doublé par une deuxième embouchure symétrique, munie d’un filtre et disposée à l’arrière du corps.
Cette boîte (ou pyxide selon le terme dérivé du grec ancien) possède un couvercle, qui s’adapte parfaitement au corps grâce à un rebord en relief sculpté sur la lèvre.
L’olpé est en feuille d’argent. Son corps, modelé en forme de goutte, est soutenu par un pied bas et tronconique ; son épaule arrondie se termine par un col bas et évasé. Avec son contour aéré et sinueux, l’anse rend la forme du récipient encore plus élégante.
Dépourvue d’anses, cette Bouteille avec Riche Décoration a un corps sphérique mais écrasé, soutenu par une petite base annulaire. Elle servait probablement pour le service des boissons, comme vaisselle de table.
Le skyphos est une forme destinée principalement à consommer le vin lors des banquets (symposia) : le terme désigne un gobelet plutôt profond et de forme élégante, pourvu de deux anses horizontales, qui était répandu surtout à Corinthe. Il est parfois aussi appelé kotylé.
Petit vase à boire que l’on appelle un « guttus ». Il s’agit d’un petit conteneur destiné à remplir d’autres récipients comme par exemple des lampes à huile, grâce à son embout-verseur situé au niveau de la panse (fi n et élancé, sur le vase en examen). Comme son nom l’indique, le liquide ne s’en écoulait qu’en petite quantité ou goutte à goutte.
Le récipient est en verre souffl é transparent avec des refl ets verdâtres. Les qualités techniques et esthétiques de cette cruche sont remarquables (forme équilibrée, verre très mince, belle précision formelle). Le fond, à peine concave, montre quelques restes du pontil. La décoration est obtenue en souffl ant la paraison dans un moule avec des raies verticales ; après avoir sorti la vase du moule, le verrier tord doucement le verre, ce qui donne aux traits en relief leur mouvement spiralé.
Le vase est impressionnant, surtout à cause de l’épaisseur de sa paroi et de son poids.
La coupe, en cuivre fondu dans un moule, n’a pas d’anses : son profi l est tronconique et très linéaire. Elle s’appuie sur un petit pied triangulaire et plein.
La coupe (kylix), de dimensions moyennes mais aux proportions élégantes et harmonieuses, s’appuie sur une tige haute et creuse, modelée en forme de trompette. La vasque est profonde, son contour arrondi et régulier ; sa partie supérieure présente un bord haut et légèrement incliné vers l’extérieur. Les anses sont fixées sur le haut de la vasque et dessinent un « U ».
Ce petit récipient a été taillé dans une pierre de couleur rosée, sillonnée de veinures brun-rouge : le sculpteur a certainement prêté une attention particulière au fragment de pierre à travailler, de façon à en exploiter la polychromie naturelle comme décoration.
Le récipient est en verre soufflé de couleur aubergine/brun, avec quelques reflets clairs, voire transparent. Malgré des petites bulles visibles sur la surface, ses qualités techniques sont remarquables (forme équilibrée, verre très mince, belle précision formelle). Le fond est concave.
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