Petit vase à boire que l’on appelle un « guttus ». Il s’agit d’un petit conteneur destiné à remplir d’autres récipients comme par exemple des lampes à huile, grâce à son embout-verseur situé au niveau de la panse (fi n et élancé, sur le vase en examen). Comme son nom l’indique, le liquide ne s’en écoulait qu’en petite quantité ou goutte à goutte.
La coupe a été fabriquée dans une seule plaque d’argent d’une certaine épaisseur, travaillée probablement sur un moule et ensuite achevée à froid, par martelage. Le fond du récipient est plat de façon à ce que les 16 «amandes» constituent autant de petits pieds ; le bord remonte en suivant une courbe régulière et se transforme en une lèvre évasée et lisse. Le médaillon est composé d’un disque bombé, appelé omphalos : en son centre, le point incisé a servi au toreute comme repère pour le compas afi n de tracer la décoration avec précision et régularité.
Taillé dans une pierre de couleur chaude, tirant au jaune, cet objet présente une forme bien proportionnée et élégante, qui attire le spectateur par ses lignes géométriques et simples. Sa structure est mouvementée uniquement par quelques veinures rouges, très discrètes, de la pierre, qui coupent la partie inférieure du fût en dessinant une ellipse sur la surface. Autre particularité : la présence de deux sillons, l’un en « Y » sur la face supérieure et l’autre, un simple trait, sous la base.
Le récipient est en verre souffl é transparent avec des refl ets verdâtres. Les qualités techniques et esthétiques de cette cruche sont remarquables (forme équilibrée, verre très mince, belle précision formelle). Le fond, à peine concave, montre quelques restes du pontil. La décoration est obtenue en souffl ant la paraison dans un moule avec des raies verticales ; après avoir sorti la vase du moule, le verrier tord doucement le verre, ce qui donne aux traits en relief leur mouvement spiralé.
Le vase est impressionnant, surtout à cause de l’épaisseur de sa paroi et de son poids.
La coupe, en cuivre fondu dans un moule, n’a pas d’anses : son profi l est tronconique et très linéaire. Elle s’appuie sur un petit pied triangulaire et plein.
Modelée à la main, la sculpture représente une femme assise, dans une position évocatrice de l'enfantement, caractérisée par ses formes abondantes et volumineuses mais en même temps stylisées. Ses jambes pliées sont ramenées vers le corps, ses longs bras encadrent des seins énormes, le cou est surmonté d'une petite tête modelée simplement en pinçant l'argile entre deux doigts.
Obtenu par moulage et savamment achevé par un modelage à la main, ce masque reproduit une tête d’aspect juvénile mais un peu impersonnel ; ses dimensions ne dépassent pas la moitié de la taille naturelle. La partie interne est creuse et grossièrement aplatie. Trois trous (deux sont visibles en bas, entre les mèches de la chevelure et le troisième près de la sommité du bonnet) servaient pour fixer la tête à un support.
Modelée à la main, la sculpture représente une femme assise, dans une position évocatrice de l'enfantement, caractérisée par ses formes abondantes et volumineuses mais en même temps stylisées. Ses jambes pliées sont ramenées vers le corps, ses longs bras encadrent des seins énormes, le cou est surmonté d'une petite tête modelée simplement en pinçant l'argile entre deux doigts.
La coupe (kylix), de dimensions moyennes mais aux proportions élégantes et harmonieuses, s’appuie sur une tige haute et creuse, modelée en forme de trompette. La vasque est profonde, son contour arrondi et régulier ; sa partie supérieure présente un bord haut et légèrement incliné vers l’extérieur. Les anses sont fixées sur le haut de la vasque et dessinent un « U ».
Ce petit récipient a été taillé dans une pierre de couleur rosée, sillonnée de veinures brun-rouge : le sculpteur a certainement prêté une attention particulière au fragment de pierre à travailler, de façon à en exploiter la polychromie naturelle comme décoration.
Phialé de dimensions moyennes, de forme parfaitement circulaire et à paroi basse. Le corps est creux avec un bord fortement évasé; elle a été martelée dans une seule feuille d’argent de faible épaisseur.
Taillée dans un fragment de quartzite rose, la statuette représente un babouin assis sur un socle presque cubique, qui pose les mains sur ses genoux relevés et qui regarde vers l’avant, dans une attitude parfaitement naturelle pour les singes de cette espèce. L’animal écarte un peu ses jambes, montrant ainsi son appareil génital ; la queue s’enroule sur le côté droit.
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