La Statuette en forme d’Oiseau de Proie a été taillé dans une plaquette très mince de stéatite : le corps et les pattes de l’oiseau sont pratiquement un simple relief, tandis que seule sa tête est modelée en ronde bosse.
La stèle est comme une grosse plaque de forme pratiquement rectangulaire. Elle représente le buste d’une femme à l’expression un peu figée et impersonnelle, taillé en très haut relief. La base, l’arrière et les côtés sont plats et simplement dégrossis : il est possible qu’elle servît comme stèle funéraire.
La Statuette de Mouflon ou de Bélier a été taillé dans un galet de pierre de faible épaisseur, qui est encore partiellement translucide, malgré l’aspect désormais foncé et patiné de la surface.
Cette Statuette de Taureau Androcéphale représente une figure mythologique hybride très populaire et largement répandue dans l’iconographie proche-orientale.
Cette statuette, dont la partie inférieure est creuse, a été modelée à la main. Elle représente une femme mince et élancée, aux formes plutôt abstraites : ses jambes et ses pieds, entièrement couverts par une longue robe cylindrique, sont invisibles ; les bras, écartés et soulevés, dessinent un croissant de lune avec le torse ; la forme mince et pointue de son visage a été obtenue en pinçant l’argile entre deux doigts. Sur la tête, elle porte un couvre-chef triangulaire (qui rappelle un polos malgré sa forme ouverte) pourvu d’une languette plastique qui descend dans le dos et se transforme en une tresse.
La tête, modelée à la main et entièrement creuse, appartenait à une statuette qui devait mesurer environ un tiers de la taille naturelle. La cassure se situe au niveau du cou.
Le personnage représenté est un homme adulte, dans la force de l’âge. Il est coiff é d’un couvre-chef conique et pointu, d’un modèle qui se rapproche des casques chypriotes en cuir ; il ne couvre pas les oreilles et laisse le visage entièrement dégagé. L’homme porte une barbe courte et bien soignée, délimitée par un trait précis, qui sillonne le visage des tempes jusqu’au menton.
Taillé dans une pierre de couleur chaude, tirant au jaune, cet objet présente une forme bien proportionnée et élégante, qui attire le spectateur par ses lignes géométriques et simples. Sa structure est mouvementée uniquement par quelques veinures rouges, très discrètes, de la pierre, qui coupent la partie inférieure du fût en dessinant une ellipse sur la surface. Autre particularité : la présence de deux sillons, l’un en « Y » sur la face supérieure et l’autre, un simple trait, sous la base.
Modelée à la main, la sculpture représente une femme assise, dans une position évocatrice de l'enfantement, caractérisée par ses formes abondantes et volumineuses mais en même temps stylisées. Ses jambes pliées sont ramenées vers le corps, ses longs bras encadrent des seins énormes, le cou est surmonté d'une petite tête modelée simplement en pinçant l'argile entre deux doigts.
Obtenu par moulage et savamment achevé par un modelage à la main, ce masque reproduit une tête d’aspect juvénile mais un peu impersonnel ; ses dimensions ne dépassent pas la moitié de la taille naturelle. La partie interne est creuse et grossièrement aplatie. Trois trous (deux sont visibles en bas, entre les mèches de la chevelure et le troisième près de la sommité du bonnet) servaient pour fixer la tête à un support.
Modelée à la main, la sculpture représente une femme assise, dans une position évocatrice de l'enfantement, caractérisée par ses formes abondantes et volumineuses mais en même temps stylisées. Ses jambes pliées sont ramenées vers le corps, ses longs bras encadrent des seins énormes, le cou est surmonté d'une petite tête modelée simplement en pinçant l'argile entre deux doigts.
Taillée dans un fragment de quartzite rose, la statuette représente un babouin assis sur un socle presque cubique, qui pose les mains sur ses genoux relevés et qui regarde vers l’avant, dans une attitude parfaitement naturelle pour les singes de cette espèce. L’animal écarte un peu ses jambes, montrant ainsi son appareil génital ; la queue s’enroule sur le côté droit.
Cette Applique Romaine en forme de Buste d’Héraclès est en bronze fondu mais légèrement creuse dans sa partie inférieure. D’après son contour semi-circulaire, il est raisonnable de penser qu’il s’agit d’une partie de la décoration d’un lit (fulcrum).
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